25 meilleures symphonies de tous les temps
Des milliers de symphonies ont été écrites depuis que les musiciens ont mis de l’encre sur le papier. Certaines, naturellement, sont meilleures que d’autres. Pour ceux qui auraient besoin de précisions, une symphonie est un morceau de musique orchestral de grande envergure, souvent composé de quatre mouvements.
1. Symphony No. 3 – Beethoven
Également connue sous le nom d’“Eroica”, qui signifie “héroïque” en anglais, la “Symphonie n° 3” de Beethoven est largement considérée comme la meilleure symphonie de tous les temps. Il est l’un des plus grands compositeurs qui aient jamais vécu, sans conteste. Bien qu’il soit devenu sourd avec l’âge, il a continué à composer des œuvres brillantes qui ont changé la façon dont le monde pensait à la musique.
2. Symphonie Fantastique – Berlioz
Leonard Bernstein a décrit cette symphonie comme la première exploration musicale de l’expression psychédélique, et il a supposé que Berlioz avait dû en composer au moins une partie sous l’effet des opiacés. Cela devrait vous donner une idée de ce qui vous attend lorsque vous écoutez la “Symphonie fantastique”. Parce que Berlioz mettait tant d’émotions et d’histoires personnelles dans ses compositions musicales, il était célèbre pour avoir dit qu’il avait du mal à écouter ses œuvres dirigées par quelqu’un d’autre.
3. Symphony No. 6 – Tchaikovsky
Également connue sous le nom de “Symphonie pathétique” ou “Symphonie passionnée”, c’est la dernière symphonie de Tchaïkovski. Le programme réel de son histoire n’est pas certain, bien qu’il existe de nombreuses théories. Ce que l’on sait, c’est que Tchaïkovski s’est senti obligé de travailler sur cette symphonie et a déclaré qu’il avait du mal à s’en détacher pendant qu’il l’écrivait.
4. Symphony No. 40 – Mozart
Parfois appelée “la grande symphonie en sol mineur” pour la distinguer de “la petite symphonie en sol mineur”, c’est une œuvre immensément populaire que la plupart des gens reconnaîtront, même s’ils ne sont pas familiers avec la plupart des symphonies. Cela ne devrait pas surprendre, car Mozart a été une force de la nature pendant presque toutes les années de sa courte vie.
5. Symphony No. 9 – Beethoven
Revenons à Beethoven pour un autre de ses chefs-d’œuvre. Sa “Symphonie n° 9” est si connue qu’elle est apparue d’innombrables fois dans la culture pop moderne. Le dernier mouvement utilise le texte d’un segment choral, adapté d’un poème intitulé “Ode à la joie” de Friedrich Schiller.
6. Symphony No. 3 – Mahler
Utilisant un cadre mythologique pour son programme, Mahler a écrit cette symphonie en six mouvements. Chaque mouvement est intitulé d’une description qui aide le public à visualiser ce qui se passe dans la symphonie. Le premier mouvement est “Pan Awakes, Summer Marches In”. Dans ce mouvement, nous entendons une ouverture en forme de marche avec des percussions, et l’histoire commence.
7. Symphony No. 7 – Bruckner
Cette symphonie est l’une des œuvres les plus connues et les plus populaires de Bruckner. Il a même prétendu en avoir entendu certaines parties dans un rêve et les avoir écrites à son réveil. Le compositeur a dit un jour que son écriture ne pouvait se résumer à une seule émotion, comme la joie ou la tristesse. Cela est vrai pour la “Symphonie n° 7”, qui peut être tantôt éthérée, tantôt presque effrayante.
8. Symphony No. 1 – Brahms
Il a fallu à Brahms une vingtaine d’années pour achever l’écriture de cette symphonie, qui est à tous égards un chef-d’œuvre. Après cette œuvre, il a composé plusieurs autres symphonies au succès incroyable, mais celle-ci a été la plus longue. Cela s’explique peut-être en partie par le fait qu’il était un fan inconditionnel de Beethoven et qu’il ne voulait pas composer quelque chose d’indigne du grand compositeur.
9. Symphony No. 2 – Brahms
Brahms n’a pas pris autant de temps pour écrire sa deuxième symphonie. Après le succès de sa première, il l’a terminée en un seul été. C’est une partition joyeuse et légère dans la plupart des mouvements, bien que Brahms semble avoir eu le sens de l’humour.
10. Symphony No. 7 – Beethoven
Cette symphonie est particulièrement fascinante en raison de son optimisme et de sa joie durables, sans parler de sa beauté musicale. Il est important de noter que Beethoven l’a écrite alors qu’il devenait sourd.
11. Symphony No. 5 – Beethoven
C’est peut-être la symphonie la plus célèbre jamais écrite. “Dun-dun-dun-DUN !” C’est dramatique et puissant, et c’est joué et enregistré tout le temps. Il joue avec le passage du mineur au majeur, en résolvant la douleur et la peur en joie chaque fois que cela est possible. C’était une philosophie explicite pour Beethoven, qui connaissait le pouvoir de l’optimisme, même face à de terribles obstacles.
12. Symphony No. 7 – Sibelius
La “Symphonie n° 7” est l’une des dernières œuvres de Sibelius, bien qu’il ait vécu environ sept ans après son achèvement. Il l’a qualifiée de “fantaisie symphonique” et certains l’ont décrite comme jouant avec la notion d’espace, de temps et même de gravité des auditeurs. Il s’agit d’une œuvre d’art phénoménale qui a inspiré les auditeurs depuis sa première représentation.
13. Symphony No. 6 – Beethoven
Ce n’est pas pour rien que Beethoven figure si souvent sur les listes de lecture des meilleures symphonies jamais écrites. Il était un maître de cet art complexe, et son œuvre inspire encore aujourd’hui les musiciens et le public. Dans sa “Symphonie n° 6”, également connue sous le nom de “Symphonie pastorale”, l’auditeur se promène dans la nature avec Beethoven.
14. Symphony No. 5 – Shostakovich
En travaillant sur un cœur brisé et le texte d’un poème sur la renaissance, Chostakovitch a réussi à composer l’une des symphonies les plus fascinantes de tous les temps. Certains y ont vu une œuvre politique, d’autres y ont vu une réflexion profondément personnelle sur la vie du compositeur. Quoi qu’il en soit, elle a réussi à inspirer d’autres personnes depuis sa première exécution.
15. Symphony No. 41 – Mozart
C’est la dernière symphonie de Mozart. Ce chiffre à lui seul nous indique à quel point ce compositeur était prolifique. Elle est également connue sous le nom de “Jupiter” et est la plus longue symphonie qu’il ait composée. Elle est probablement appelée ainsi en raison de sa grande énergie et de la joyeuse narration de la musique.
16. Symphony No. 3 – Brahms
Bien que Brahms ait semblé avoir trouvé son rythme de croisière avec sa deuxième symphonie, il lui a fallu encore six ans pour commencer sa troisième. Une fois qu’il s’y est mis, il l’a terminée en quatre mois. Il s’agit de sa symphonie la plus courte, mais elle n’est en aucun cas une œuvre décevante. Chaque note a un impact émotionnel qui attire l’attention de l’auditeur à chaque mouvement.
17. Symphony No. 9 – Mahler
Mahler n’a pas vécu pour voir sa dernière symphonie jouée. Beaucoup ont suggéré qu’il a écrit cette œuvre comme un dernier adieu au monde parce qu’on venait de lui diagnostiquer une maladie cardiaque. Il avait également subi des pertes personnelles juste avant l’achèvement de cette symphonie. L’inspiration réelle de cette symphonie n’est pas confirmée, mais elle ajoute quelque chose à l’interprétation de cette symphonie magnifique et sincère.
18. Symphony No. 8 – Bruckner
C’est un autre exemple de symphonie finale. Certains l’ont appelée “L’Apocalyptique”, mais ce n’est pas le titre officiel. Le programme de cette symphonie est d’une certaine manière militariste, et d’une autre manière, un regard introspectif sur la mort et les sentiments qu’une personne peut éprouver dans ses derniers moments.
19. Symphony No. 9 – Dvořák
Surnommée " Le Nouveau Monde " parce que Dvořák l’a écrite alors qu’il se trouvait en Amérique, la " Symphonie n° 9 " entraîne l’auditeur dans un voyage, comme à travers la mer, vers de nouveaux décors et de nouvelles aventures. C’est une symphonie palpitante, et cette énergie a contribué à sa popularité durable dans le monde entier.
20. Symphony No. 4 – Brahms
Nous revenons à Brahms pour sa dernière symphonie. Il y a de bonnes raisons de croire qu’il s’est inspiré de la pièce de Shakespeare Antony And Cleopatra pour cette œuvre, qui fait de nombreuses références musicales à des œuvres extérieures, notamment à son compositeur préféré, Beethoven.
21. Symphony No. 3 – Górecki
Également connue sous le nom de “Symphonie de chants douloureux”, la “Symphonie n° 3” de Górecki a été composée en 1976 et publiée l’année suivante. Elle raconte l’histoire de parents qui ont perdu leurs enfants. Il s’agit d’une œuvre musicale véritablement déchirante qui aborde la perte de front et exorcise le désespoir le plus profond que les êtres humains peuvent éprouver dans leur chagrin.
22. Symphony No. 2 – Rachmaninov
Cette symphonie est si influente que des artistes pop modernes en ont samplé des parties dans leurs chansons. Il est choquant de constater que ce compositeur a reçu un accueil si négatif pour sa symphonie précédente qu’il pensait ne pas avoir de talent du tout. Il a traversé une période de dépression avant d’achever cette œuvre, qui a reçu des critiques élogieuses.
23. Symphony No. 2 – Mahler
Cette symphonie est également connue sous le nom de “Symphonie de la résurrection” et elle commence par des funérailles qui, nous le constatons, ne sont que le début. C’est une symphonie qui examine la possibilité d’une vie après la mort et ce à quoi elle pourrait ressembler, musicalement parlant. Elle est solennelle et pleine d’émerveillement, alors que l’âme qui s’en va rencontre de nouveaux décors tout au long de sa résurrection.
24. Dante Symphony – Liszt
Cette étonnante symphonie est parfois connue comme un poème symphonique en deux parties. Elle nous emmène à travers les niveaux de l’enfer de Dante, où nous faisons l’expérience de toute la beauté et de l’horreur que le poème épique nous a décrites. Liszt voulait dépeindre fidèlement les émotions présentes dans l’œuvre de Dante à travers la musique, et il ne fait aucun doute qu’il a réussi.
25. Symphony No. 4 – Ives
En parlant de l’enfer, terminons notre voyage à travers les symphonies les plus importantes de tous les temps avec Ives. La “Symphonie n° 4” est une œuvre massive qui nécessite deux chefs d’orchestre et laisse certaines parties des mouvements en option, de sorte que deux interprétations ne sont jamais exactement les mêmes. D’une certaine manière, on peut l’entendre comme un voyage en train à travers l’enfer, ce qui n’est qu’un avant-goût de ce que cette symphonie épique a en réserve.